La Sécurité Sociale, ce lourd héritage communiste qui détruit lentement l’économie française :

Quelques chiffres :

- 475 milliards de prélèvements annuels, exclusivement pris sur les revenus du travail (62% de la masse salariale échappent ainsi aux salariés).

- 15 à 20 milliards de déficit annuel / 200 milliards de dette cumulée.

- À taux de cotisation égal, les retraités du secteur public perçoivent une retraite en moyenne 2x supérieure aux retraités du secteur privé.

- 90% des assurés cotisent à une complémentaire santé, obligatoire pour palier au remboursement quasi-nul des soins courants les plus coûteux (dentaire, optique…)

Malgré la législation européenne, l’état français maintient l’ambiguïté quand au caractère obligatoire de la Sécurité Sociale (maladie, retraite, famille, accident du travail), et elle est toujours imposée par la force aux entreprises et aux salariés.

L’Etat va même jusqu’à persécuter les assureurs qui proposent des assurances santé privées, pourtant infiniment moins coûteuses que la sécurité sociale. Les français désirant quitter la Sécu, doivent donc aller s’assurer auprès de compagnies étrangères ( !).

Malgré un système qui a démontré depuis très longtemps qu’il n’était absolument pas viable, spoliateur, injuste, et pénalisant gravement l’économie, il est maintenu contre toute logique économique et sociale.
Ceci principalement dans le but de préserver le financement des syndicats qui n'ont plus d'adhérents. De fait, ce sont donc les seuls dirigeants syndicaux qui en profitent. Un clientélisme absolu.

Au fil des décennies, la Sécurité Sociale est donc devenue une gigantesque manne financière pour l’Etat et les organisations paritaires qui en usent et en abusent, hors de tout contrôle.

Cette ponction massive des revenus du travail a notamment permis aux gouvernements successifs d’éviter toute réforme sociale, mais aussi de financer une politique clientéliste en développant un assistanat de masse, à des fins électorales. Logiquement, le nombre des bénéficiaires du RSA et de la CMU a explosé.

Une politique qui s’auto-entretient, puisque la France est devenu un des seuls pays au monde qui supporte un « tourisme social » venu du monde entier.
Mécaniquement, il y a donc toujours plus de bénéficiaires non-cotisants et les cotisants sont toujours plus lourdement ponctionnés.

Les énormes prélèvements de la Sécu sur le secteur privé, permettent également aux politiques de maintenir les statuts et les avantages injustes et coûteux des secteurs publics et parapublics, pourtant les plus lourdement déficitaires, mais financé par le secteur privé et la dette.

Ainsi, depuis 1980, les charges sociales ont été multipliées par 2, passant de 35 à 62% de la masse salariale, sans même intégrer la CSG-RDS, prélevée sur l’ensemble des revenus!

Evidemment, ces 475 milliards prélevés arbitrairement, pèsent lourdement sur les entreprises et les salariés, et pénalise l’économie française de toutes les manières :

- D’abord l’Etat enlève toute possibilité de choix aux français qui ne disposent plus librement de leurs revenus :
Les jeunes actifs pourraient consommer et épargner bien davantage si leur salaire leur était versé intégralement, en s’assurant dans le privé pour la santé et en capitalisant pour leur retraite dès le début de leur vie active.

- C’est donc avant tout le pouvoir d’achat des ménages qui est amputé. Evidemment la consommation et l’activité des entreprises est également directement impacté, et par conséquent l’emploi.

- Le système de retraite faussement appelée « par répartition », empêche une vraie retraite par capitalisation puisque l’épargne financière est réduite au minimum, compte tenu du faible salaire net disponible.
Ceci pénalise aussi le financement de l’économie réelle, puisque la France ne possède pas de vrais fonds de pensions qui pourraient investir dans les entreprises, contrairement à la plupart des pays développés.

- Les charges dites « patronales » représentent près de 50% de l’ensemble des prélèvements des entreprises, pénalisant évidemment leurs marges, voire compromettent leur survie dans les périodes tendues, comme en ce moment.
Mais ces lourds prélèvements empêchent aussi de nouvelles embauches, des investissements, des développements.

En pénalisant à ce point la compétitivité et les marges des entreprises, on peut donc raisonnablement penser que la sécurité sociale est une des premières causes du chômage structurel de masse en France. Un véritable cercle vicieux : on écrase les entreprises en taxant toujours plus le travail, en détruisant donc l’emploi, pour financer les inactifs mécaniquement toujours plus nombreux.

- Comme tout système collectiviste, la sécurité sociale déresponsabilise ceux qui y sont rattachés, et entraîne gâchis et abus à tous les niveaux, d’où des déficits récurrents malgré des cotisations devenue insupportables, des remboursements en constantes baisse et des retraites du secteur privé sans cesse dévalorisées.

Pour sortir de ce désastre appelé « modèle social français » (que personne ne nous envie), on ne pourra compter sur le politique, puisqu’il est juge et partie.

Il faudra donc que les français quittent massivement ce système soviétique ruineux et injuste, pour contraindre le pouvoir à le réformer de manière radicale, ou mieux, à le privatiser totalement !

Il faudra alors faire cesser sur-le-champ toutes les dérives nées de ce système pervers.

Les charges sociales baisseront fortement, ce qui fera augmenter mécaniquement le revenu de référence et donc l’impôt, mais sans commune mesure avec l’augmentation du salaire net disponible !

Même si les minimas sociaux ne pourront pas tous être remis en cause, leurs conditions d’attribution devront être revues et les étrangers du monde entiers ne pourront plus venir se faire soigner gratuitement en France. Ce qui n’aurait d’ailleurs jamais dû être le cas !

L’âge de retraite, les taux et les durées de cotisations, et le mode de calcul des pensions du secteur public devront être strictement alignés sur le privé.

Les fonctionnaires devront abandonner leur statut archaïque pour se conformer aux réalités économiques du 21ème siècle. La « justice sociale » sera ainsi enfin rétablie.

Les syndicats n’ayant pas suffisamment d’adhérents pour se financer devront disparaître, ou réduire leur train de vie en conséquence.

Ce n’est bien sûr pas une liste exhaustive des bienfaits de la fin de la Sécu, mais la réforme de toutes les réformes, la privatisation de la Sécu, entraînera un choc de modernisation, e relance et de compétitivité sans précédent pour l’économie française.

C’est beaucoup, mais c’est aussi le minimum pour sortir la France du déclin dans lequel elle s’est installée depuis plus de 40 ans maintenant.

A quand ce choc salvateur ?

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